Dans une déclaration liminaire aux parlementaires le Ministre Assimaidou a remercié l’ensemble des députés pour l’occasion qui lui est offerte et l’intérêt que leur institution accorde aux questions de développement. Il a ajouté que la réponse à la question du parlement relative à la gestion du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) ainsi qu’aux modalités de transfert de cette gestion à cet organisme, l’amène à faire une brève présentation du PUDC tout en mettant l’accent sur les questions spécifiques qui préoccupent la représentation nationale.
Le PUDC étant un programme d’urgence, le PNUD a été choisi comme agence d’exécution et à ce titre, il ne se substitue pas mais exécute pour le compte du Gouvernement sur la base d’un cahier de charges. En ce qui concerne les frais de gestion que le PNUD perçoit, il est à rappeler que dans la plupart des pays mettant en œuvre ces genres de programme en Afrique, un taux minimal de 3% est retenu par le PNUD.
Ce programme ambitieux qui est prévu pour une période de 3 ans (2016 à 2018), comporte quatre composantes.
L’équipe de l’Unité de gestion du projet est composée de staffs nationaux recrutés, entre mai 2016 et janvier 2017, suite à un appel à candidature.